48e MARATHON DE NEW-YORK
LE GANG DES NEW-YORKAIS
Trois coureurs préparés par Coachingbaala ont pris part, dimanche 04 novembre, au célèbre marathon de New-York au milieu d'une marée humaine (50 000 coureurs étaient au départ de cette 48e édition). Un grand bravo à Audrey, qui emballe l'affaire en 3h58'05'' pour son premier !, à Francis qui se comble de bonheur en bouclant l'aventure, avec sa fille, en 4h28'34'' et une grosse pensée pour Philippe, mitraillé par la brigade de la tendinite, juste avant le coup de pistolet, alors qu'il allait faire sauter la banque. Après la pluie, le beau temps viendra. On va préparer le suivant minutieusement !
Quand le gang des New-Yorkais préparait son casse...
Le premier marathon de New York s'est tenu en 1970 avec 127 concurrents au départ. A l'issue de cette première édition, seuls 55 coureurs ont passé la ligne d'arrivée. Au fil du temps, le marathon s'est beaucoup développé et aujourd'hui la course rassemble des dizaines de milliers de participants et plusieurs millions de spectateurs encouragent les coureurs, notamment lorsqu'ils arrivent sur la première avenue, très large et très longue : plus de 5 km de ligne droite. L'ambiance dans la course est permanente, avec des animations tout le long du parcours
Père et fille exhibent fièrement leurs médailles
de finishers au terme des 42km et 195m.
À l'arrivée d'un marathon, il n'y a que des champions !
MARATHON DES ALPES MARITIMES
NEWSPAPER- by Pauline K.
Toujours, ce dimanche 04 novembre 2018, Pauline, une sportive que je coache, s'est rendu dans le Sud de la France afin de participer au marathon des Alpes Maritimes (et vivre sa 3e expérience sur la distance). À l'arrivée, elle signe un nouveau record personnel. Voici son récit de course.
Pauline, la veille de l'épreuve sur la Promenade des Anglais
Ça y est, c'est fini... Mon chrono se fige sur un 3h37'30"
Je termine 941/5021 au général et 41e de ma catégorie.
Je suis fière de ce résultat et de ma course car les conditions n'étaient pas simple à gérer.
Réveil 5h00, petit déjeuner. Vers 6h30, avec Mélanie, ma meilleure amie, nous descendons sur la Promenade des Anglais. Dès l'échauffement, le ciel est menaçant et la mer agitée.... 8h00... let's go .... je me cale très vite à mon rythme : 11,8km/h soit environ 5'00/km. La première partie de la course est roulante, il fait gris mais sans plus : tout va bien. Les doutes, les peurs s'évaporent à mesure que je cours et je prends confiance.
Près de la borne du 16e km, je vois Mélanie ..., "tout va bien, c'est super !" Je me dirige vers le font de mer... et soudainement un vent de malade, tourbillonnant, parfois de face me tombe dessus. C'est parti pour de longs kilomètres sur une très, très longue ligne droite. Je m'accroche, je regarde mon chrono et je vois que je suis toujours dans les temps. Pas de panique. Tout va bien ! On va y arriver.
Plus loin, au 23e... bim, bam, boum, patatra. De nouvelles bourrasques terribles me tombe dessus et m'empêchent d'avancer comme je le voudrais. Le vent de plus en plus fort m'empêche de me caler sur mon rythme de croisière. Du coup, je m'agace et commence à entrer dans schéma négatif.
Pour faire passer cette petite période déprimante, je me remobilise en pensant à toutes ces heures d'entraînements et au chemin parcouru pour arriver sur cette ligne de départ.
Et enfin, le moral repart. Peu à peu, je reprends de la vitesse.
30e km. La fin approche. Plus que 12 km à tenir ! C'est là que le marathon commence. Allez, on s'accroche, on y croit. Je vois Mélanie et l'annonce d'un hamburger me fait garder le cap.
Les derniers kilomètres défilent les uns après les autres et l'émotion me gagne. Plus que 8,7,6,5,4,3,2... et voilà enfin le dernier km ... le bout du tunnel. Je lâche les derniers chevaux qu'il me reste et franchis la ligne en 3h37'30" non sans souffrance mais avec une fierté immense: celle d'une nouvelle victoire sur moi-même que je suis bien contente d'avoir remportée.
Et voilà, c'est un marathon de plus à mon actif et un nouveau record personnel en prime ! Des étoiles plein les yeux, des souvenirs plein la tête et un petit plus de confiance en moi. Je cours pour ça: pour vivre ces moments magiques. Mais tout le monde ne peut pas comprendre. Je pense qu'il faut aller au bout d'un marathon pour savoir ce que ça fait.
Sportivement,
Pauline
BAALA SAMIR, COACH SPORTIF
Après un premier bilan, j'élabore un programme personnalisé, adapté et surtout réaliste. Durant plusieurs semaines nous avancerons ensemble dans la préparation, en toute sécurité et avec assiduité, car seul la régularité permet d'obtenir des résultats concrets et durables. coachingbaala.com
LE GANG DES NEW-YORKAIS
Trois coureurs préparés par Coachingbaala ont pris part, dimanche 04 novembre, au célèbre marathon de New-York au milieu d'une marée humaine (50 000 coureurs étaient au départ de cette 48e édition). Un grand bravo à Audrey, qui emballe l'affaire en 3h58'05'' pour son premier !, à Francis qui se comble de bonheur en bouclant l'aventure, avec sa fille, en 4h28'34'' et une grosse pensée pour Philippe, mitraillé par la brigade de la tendinite, juste avant le coup de pistolet, alors qu'il allait faire sauter la banque. Après la pluie, le beau temps viendra. On va préparer le suivant minutieusement !
Quand le gang des New-Yorkais préparait son casse...
Le premier marathon de New York s'est tenu en 1970 avec 127 concurrents au départ. A l'issue de cette première édition, seuls 55 coureurs ont passé la ligne d'arrivée. Au fil du temps, le marathon s'est beaucoup développé et aujourd'hui la course rassemble des dizaines de milliers de participants et plusieurs millions de spectateurs encouragent les coureurs, notamment lorsqu'ils arrivent sur la première avenue, très large et très longue : plus de 5 km de ligne droite. L'ambiance dans la course est permanente, avec des animations tout le long du parcours
Père et fille exhibent fièrement leurs médailles
de finishers au terme des 42km et 195m.
À l'arrivée d'un marathon, il n'y a que des champions !
MARATHON DES ALPES MARITIMES
NEWSPAPER- by Pauline K.
Toujours, ce dimanche 04 novembre 2018, Pauline, une sportive que je coache, s'est rendu dans le Sud de la France afin de participer au marathon des Alpes Maritimes (et vivre sa 3e expérience sur la distance). À l'arrivée, elle signe un nouveau record personnel. Voici son récit de course.
Pauline, la veille de l'épreuve sur la Promenade des Anglais
Ça y est, c'est fini... Mon chrono se fige sur un 3h37'30"
Je termine 941/5021 au général et 41e de ma catégorie.
Je suis fière de ce résultat et de ma course car les conditions n'étaient pas simple à gérer.
Réveil 5h00, petit déjeuner. Vers 6h30, avec Mélanie, ma meilleure amie, nous descendons sur la Promenade des Anglais. Dès l'échauffement, le ciel est menaçant et la mer agitée.... 8h00... let's go .... je me cale très vite à mon rythme : 11,8km/h soit environ 5'00/km. La première partie de la course est roulante, il fait gris mais sans plus : tout va bien. Les doutes, les peurs s'évaporent à mesure que je cours et je prends confiance.
Près de la borne du 16e km, je vois Mélanie ..., "tout va bien, c'est super !" Je me dirige vers le font de mer... et soudainement un vent de malade, tourbillonnant, parfois de face me tombe dessus. C'est parti pour de longs kilomètres sur une très, très longue ligne droite. Je m'accroche, je regarde mon chrono et je vois que je suis toujours dans les temps. Pas de panique. Tout va bien ! On va y arriver.
Plus loin, au 23e... bim, bam, boum, patatra. De nouvelles bourrasques terribles me tombe dessus et m'empêchent d'avancer comme je le voudrais. Le vent de plus en plus fort m'empêche de me caler sur mon rythme de croisière. Du coup, je m'agace et commence à entrer dans schéma négatif.
Pour faire passer cette petite période déprimante, je me remobilise en pensant à toutes ces heures d'entraînements et au chemin parcouru pour arriver sur cette ligne de départ.
Et enfin, le moral repart. Peu à peu, je reprends de la vitesse.
30e km. La fin approche. Plus que 12 km à tenir ! C'est là que le marathon commence. Allez, on s'accroche, on y croit. Je vois Mélanie et l'annonce d'un hamburger me fait garder le cap.
Les derniers kilomètres défilent les uns après les autres et l'émotion me gagne. Plus que 8,7,6,5,4,3,2... et voilà enfin le dernier km ... le bout du tunnel. Je lâche les derniers chevaux qu'il me reste et franchis la ligne en 3h37'30" non sans souffrance mais avec une fierté immense: celle d'une nouvelle victoire sur moi-même que je suis bien contente d'avoir remportée.
Et voilà, c'est un marathon de plus à mon actif et un nouveau record personnel en prime ! Des étoiles plein les yeux, des souvenirs plein la tête et un petit plus de confiance en moi. Je cours pour ça: pour vivre ces moments magiques. Mais tout le monde ne peut pas comprendre. Je pense qu'il faut aller au bout d'un marathon pour savoir ce que ça fait.
Sportivement,
Pauline
BAALA SAMIR, COACH SPORTIF
Après un premier bilan, j'élabore un programme personnalisé, adapté et surtout réaliste. Durant plusieurs semaines nous avancerons ensemble dans la préparation, en toute sécurité et avec assiduité, car seul la régularité permet d'obtenir des résultats concrets et durables. coachingbaala.com
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