lundi 12 mai 2025

19e édition du Marathon de Genève

UN MARATHON AU SUCCÈS FOU

La 19e édition du marathon de Genève s’est tenu le dimanche 11 mai. Carole et moi étions de la partie. Avec 25 428 participants et une forte affluence de spectateurs, l’épreuve suisse a remporté un grand succès prouvant que la course à pied est plus populaire que jamais. 





















La veille de la course sur les rives du splendide lac Léman 

et le lendemain, dans le jardin anglais, sur le podium 



Notre participation de l’année dernière, teintée de bons souvenirs, nous avait donné envie de revenir nous confronter au parcours genevois pour améliorer nos performances et nous y sommes parvenus. Malgré une fin de course marquée par la chaleur et les crampes, nous avons, tous les deux, couru plus vite que l’an dernier. 


Je termine mon 20e marathon à la première place de ma catégorie (et 34e du classement général) en améliorant le chrono que j’avais signé lors de l’édition précédente de près de 5 minutes (2h41mn14 contre 2h46mn19 en 2024). Le plan d’entraînement de douze semaines que j’ai suivi a donc porté ses fruits même si une grosse crampe survenue, juste après le 35e km, dans une descente, a un peu perturbé mes plans me forçant à stopper mon effort quelques minutes. Sans cet incident de parcours, je penses que je serais aisément descendu sous la barre des 2h40mn mais ce n’est que partie remise ! Les années passent mais le virus du marathon coule toujours dans mes veines et je ne suis pas prêt de ranger les baskets.


Carole, quant à elle, s’est bien battu pour approcher la barre des 4 heures (4h03mn). Lors de l’édition précédente, elle avait accompagné avec bonheur notre amie Graziella lorsque cette dernière avait remporté la 1ere place de la catégorie M70 (en 4h23mn). Sans la chaleur qui a commencé à sévir, vers midi, au bout de trois heures de course, elle aurait sûrement cassé la barre des 4 heures. Pour elle aussi, ce n’est que partie remise !


L’épreuve s’est disputée sous un beau ciel bleu avec un départ donné à 9h00. Pour tous les coureurs présents, l’objectif était le même: atteindre l’arc rouge gonflable tendu sur le pont du Mont-Blanc, symbole de délivrance finale après l’effort. C’est sur ce pont situé en face de l’impressionnant jet d’eau qu’on nous a passé notre belle médaille autour du cou. Pour obtenir cette récompense, il a fallu s’accrocher physiquement et mentalement mais ça valait le coup de se battre. Pour moi, le marathon est le plus beau des challenges. Et que serait la vie si elle n’offrait pas ce type de défi qui demande du dévouement, de l’entraînement et de la force mentale. Le bonheur se trouve dans la discipline les amis !

lundi 28 avril 2025

12e édition des Perles du Vignoble

UNE BELLE BALADE DANS LE VIGNOBLE 

Ce dimanche 27 avril, nous nous sommes rendu dans le Haut-Rhin, et plus précisément à Beblenheim, pour participer aux Perles du Vignoble avec un départ et une arrivée à la cave viticole du village. Nous avons déjà participé plusieurs fois à cette épreuve qui fait partie de nos courses coup de cœur. Récit de course.












En attendant la remise des prix avec toute la bande de copains sportifs


Avec trois formats de courses et une formule duo, ici à Beblenheim, chacun peut trouver de quoi s’éclater dans le vignoble. À deux semaines du marathon de Genève, Carole et moi avons choisi de disputer la course phare « les Perles du Vignoble », une course nature qui annonce 16,5 km - 400mD+ (un peu moins en réalité) avec un départ donné à 9 h 30.

Partis de bonne heure, comme toujours, nous trouvons facilement une place de parking, non loin du départ, et filons chercher nos sésames pour l’effort dans la cour de la cave à vins. Sur place, nous saluons le directeur de la cave, qui vient de participer au marathon de Paris, et retrouvons avec bonheur nos amis sportifs, Jean-Philippe, sa femme Carole, Serge, Claudie, Johan, Clarisse, Yemine et tous ceux que j’oublie. Je suis souvent venu courir ici. J’adore le parcours vallonné avec sa succession de bosses. Un vrai parcours toboggan qui est parfait pour réaliser une bonne séance de renforcement musculaire naturelle.

Normalement, ce week-end, nous aurions dû, comme chaque année, nous rendre au Luxembourg pour participer à l’Urban Trail de la ville mais à deux semaines d’un marathon le pari était risqué avec un long déplacement et une distance de 34km 800D+ à se mettre dans les jambes. L’an dernier, j’avais enchaîné les deux épreuves (urbain trail de Luxembourg + marathon de Genève) dans la douleur et ne souhaitait pas revivre pareille expérience. Pour notre dernière sortie test, j’ai décidé de la jouer « raisonnable » et pas très loin de chez nous, à Beblenheim, un village situé à 45mn de Strasbourg, nous avons trouver de quoi nous amuser sans excès afin de garder du jus pour le grand rendez-vous du dimanche 11 mai à Genève.

Après un bon échauffement effectué en compagnie de Carole et de Serge, je pars enfiler ma tenue de course avant d’entamer quelques accélérations. Aujourd’hui, j’ai prévu de partir tranquillement avant d’augmenter le rythme progressivement au bout de 5km de course. J’ai l’habitude de procéder ainsi. Je sais que c’est mieux pour la récupération. Pourtant dans les premiers hectomètres, au niveau cardio, les sensations ne sont pas bonnes et je me demande comment je vais arriver à changer de braquet. Au bout du premier kilomètre, je compte une bonne douzaine de gars devant moi. Même des participants du trail de 25km, partis en même temps que nous, me précèdent. C’est dire si je suis parti lentement.

Cela dit, je ne panique pas car j’ai prévu de courir comme ça, tout en contrôle. Dans les montées, je me sens bien en jambes et dans les descentes, ça déroule bien. Je ne ressens pas trop la fatigue de la préparation marathon que je suis depuis déjà dix semaines. Le tracé est plaisant. Il traverse le vignoble avec une belle vue sur la plaine d'Alsace, les châteaux d'Eguisheim, Hohlandsbourg et le majestueux Haut- Koenigsbourg. Durant la course, les coureurs ont le privilège de traverser les très beaux villages de Riquewihr, Hunawihr et Zellenberg. Pour les traileurs, une épreuve de 25km est proposée avec une variante forestière.

Nous traversons le beau village de Riquewihr en empruntant une rue montante bardée de pavés. Les cuisses tiennent bons sur ce passage. Petit à petit, je gagne des places au classement. Du mode « diesel », je suis passé au mode « turbo diesel » et doubler des concurrents fait du bien au moral quand l’effort devient soutenu.

À environ 1,5km de l’arrivée, nous croisons une bonne partie des concurrents de l’épreuve la plus courte (LA RONDE DU SONNENGLANZ - 10,6 km - 170mD+ départ 10 h 00). À ce moment là, j’ai un doute sur le chemin à suivre. Dois-je suivre ces coureurs en empruntant le chemin le plus à gauche ou alors courir à contresens en suivant le chemin par lequel ils arrivent tous ? Dans le doute, je préfère m’arrêter complément et attendre qu’on m’indique la bonne direction car même si le fléchage est là, la situation est particulière (et même les bénévoles ne savent pas vraiment me dire quel chemin je dois prendre). Dans la grande majorité des trails, la fin de parcours est commune à toutes les épreuves. J’aurais donc plutôt tendance à vouloir suivre le peloton de la ronde du sonnenglanz. Seulement, le fléchage mis en place n’est pas de cet avis. Au bout de 30 à 40 secondes d’hésitation, je me décide finalement à aller à contresens des coureurs et et constate que ce choix, celui du fléchage, était le bon. Peut-être qu’un panneau placé à cet endroit éviterait à l’avenir les erreurs de parcours car nous sommes quelques uns à avoir connu des déboires à cet endroit là. Certains de mes concurrents sont même partis dans la mauvaise direction un bon moment avant de faire demi-tour, ce qui leur a valu de perdre des places au classement. Cela dit, il faut souligner le formidable travail de Vincent Beck et de l’équipe en charge de l’organisation. Le parcours est magnifique et les postes de ravitaillement sont bien placés. 

J’ai heureusement encore les jambes pour finir fort dans le dernier kilomètre (3’03/km à ma montre GPS avec un beau faux plat descendant et les 50m montants dans la cour de la cave où l’arrivée est jugée) ce qui n’est pas de trop étant donné que mon plus proche poursuivant au classement était tout proche de me rejoindre lors de mon arrêt prolongé. 

Je termine second au classement en moins d’une heure (59’52’’) ce qui est une bonne performance (surtout en tenant compte de ma pause prolongée). Je connais très bien le vainqueur puisqu’il s’agit de Yemine (Beghoul), un excellent coureur, avec lequel j’ai souvent été à la bagarre durant les cross en hiver. S’étant mis au trail récemment, il y obtient de très bons résultats après avoir réalisé de jolis chronos sur la piste et sur la route. 

Le temps de serrer quelques mains dans la zone d’arrivée (j’ai couru avec une dizaine de coureurs différents, à divers moments, durant cette course) et je file me changer pour entamer une petite remise au calme qui me permet de récupérer Carole pour l’encourager sur la fin de sa course. Je la retrouve dans la dernière descente du parcours et l’accompagne jusqu’à l’arrivée qu’elle franchit avec le sourire. Au total, nous avons parcourus 15,4km et 380m de D+, soit un peu moins qu’annoncé sur le programme avec un parcours modifié cette année. 

Avant de conclure ce petit résumé, je tenais à adresser mes plus sincères remerciements à Vincent Beck et aux sportifs du « Colmar marathon Club » qui organisent ce bel événement sportif que nous adorons. L'après course est toujours mémorable ici. La bonne ambiance règne. Chaque coureur repart avec une bonne bouteille de crémant et les tables de ravitaillements à l’arrivée sont pleines de bonnes choses à boire et à manger. On ne manque de rien avec des bénévoles au petit soin. 

Et voilà, c’était la dernière course de ma préparation. Maintenant, il ne reste plus que deux semaines d’entraînement avant le marathon de Genève. La préparation se termine bientôt et les sensations sont là. Il ne reste plus qu’à concrétiser tout cela sur les 42,195km. 

Notre chère Graziella l’a très bien fait lors du « Boston Marathon » qu’elle a disputé le lundi 21 avril, avec à la clé pour elle, la satisfaction d’avoir bouclé le doyen des marathons (l’épreuve est disputée chaque année depuis 1897) et son cinquième Major sur les six que compte le circuit (il ne lui manque plus que Tokyo pour réussir le grand chelem que tout marathonien rêve d’accomplir). Graziella est une sportive incroyable. Elle s’est qualifiée pour Boston en remportant le marathon de Genève dans sa catégorie d’âge remplissant ainsi les critères de sélection qui sont durs à atteindre. Pour moi qui est la chance de la coacher, c’est une belle source d’inspiration.

Dernière minute: on me signale tout juste que le marathon de Sydney vient de s’ajouter à la liste des Majors qui comptera, désormais, sept épreuves à compter de 2026. Un autre défi à relever pour Graziella ?  










Graziella juste après le marathon de Boston avec sa belle médaille autour du cou. Et Yemine, Jerome et moi sur le podium de la 12e édition des Perles du Vignoble.


Résultats 12e Perles du Vignoble

1. BEGHOUL el-yemine S/L US PULVERSHEIM ATHLETISME 58:53

2. BAALA samir VENDENHEIM ATHLE 59:52

3. MISCHEL jerome S/L CCA ROUFFACH 1:00:07

4. FABING Gaëtan 1:00:38

5. BELLEMBOIS gwendal 1:00:47

6. HUCK thibaut 1:01:10

7. LAEMMEL guillaume 1:01:17

8. PAILHAS florent 1:02:07

9. TSCHAENN johan S/L CCA ROUFFACH 1:02:48

10. KOCH benjamin 1:02:53

dimanche 13 avril 2025

Coaching sportif

 MARATHON DE PARIS: UNE BELLE PREMIÈRE 

Ce dimanche 13 avril, 56 950 coureurs et coureuses ont pris le départ du Marathon de Paris. Parmi eux, 55 499 sont venu à bout des 42,195 km sous la clameur du public présent dans les rues de la capitale. Cette participation est en hausse continue depuis plusieurs années preuve de l’engouement croissant pour notre sport. 


Veronique et sa fille Charlotte toutes souriantes  à l’arrivée du marathon de Paris
Sagement calée au milieu du peloton, on retrouvait Veronique S. une sympathique hôtelière que j’ai eu la joie de coacher durant les mois précédents l’épreuve parisienne. Veronique effectuait son baptême du feu avec pour objectif un chrono de 4h15mn. Au bout de l’épreuve, elle entre dans la tribu des marathoniens en signant un chrono de 4h07mn52secs. Une belle première pour cette entrepreneuse pleine d’énergie. Petit compte rendu.











Véronique et sa fille Charlotte toutes souriantes 

à l’arrivée du marathon de Paris





Hello Samir, 


Voici en quelques mots mon ressenti du marathon : 


J'ai vécu un super moment, malgré une intoxication alimentaire la veille qui m'a privée de tout sommeil la nuit précédente. J'ai juste mangé une barre sur la ligne de départ (rien pu avaler avant), plus quelques médicaments... L'ambiance était dingue et la course est passée très vite et à une allure constante de 5.40 jusqu'au 28ème K... La sortie du 3ème tunnel était un peu difficile et a coupé le rythme. Nous étions nombreux dans le "peloton" et on se gênait mutuellement. Beaucoup ont commencé à marcher et il fallait zigzaguer entre les marcheurs ce qui a cassé le rythme et j'ai eu du mal à retrouver mon allure. Je n'ai pas eu le sentiment d'avoir rencontré "le Mur", mais les cuisses étaient bien dures.

A la sortie du bois de Boulogne, les deux derniers km étaient juste incroyables, portée par la foule j'ai fini par retrouver mon allure marathon sur le dernier Kilomètre ! 

Ma fille n'a pas voulu privilégier son temps et a préféré que l'on court ensemble ce qui était juste magique. Faire la course à deux, c'est bien plus drôle, surtout parce que l'on pouvait rire ensemble des panneaux d'encouragement sur le trajet. 

MERCI pour ton accompagnement tout au long de la prépa ! Le Marathon est passé comme une lettre à la poste grâce à toi !


Véronique S.

















Véronique et les deux Carole lors d’une 

séance de 3 à 4x2000m sur la piste de Hautepierre



COACHINGBAALA

Depuis 2008

Remise en forme & Préparation physique

N° de siret: 519 944 342 000 12


Vous trouverez plus d'informations sur le site :

 

 

Baala Samir Coach Sportif à Strasbourg


Après un premier bilan, j'élabore un programme personnalisé, adapté et surtout réaliste. Durant plusieurs semaines nous avancerons ensemble dans la préparation, en toute sécurité et avec assiduité, car seul la régularité permet d'obtenir des résultats concrets et durables.

via : www.coachingbaala.com

vendredi 11 avril 2025

RUBRIQUE SANTÉ

 LES BIENFAITS DES BAINS FROIDS 

Carole et Graziella, adeptes des bains froids, dans le journal DNA du vendredi 11 avril 2025. Le bain froid est une pratique ancestrale qui suscite un engouement grandissant pour ses nombreux bienfaits sur la santé et le bien-être. Les adeptes du bain froid vantent ses vertus sur la santé, notamment le renforcement du système immunitaire et une meilleure récupération après un effort physique. 




lundi 7 avril 2025

20e MARATHON DE FRIBOURG

DANS UNE AMBIANCE DE FOLIE ! 


Près de 13 600 coureurs ont participé au 20e anniversaire du marathon de Fribourg. Trois courses figuraient au programme des festivités. En plus du marathon, on retrouvait aussi une course de 10km et un semi-marathon. Rien que sur cette épreuve, 8 522 coureurs ont atteint la ligne d'arrivée. Carole et moi avons fait partie des grands chanceux ayant pu y participer puisque la jauge des inscriptions était déjà pleine plus d’un mois avant l’événement prévu ce dimanche 06 avril.




















Je ne compte plus le nombre de fois ou j’ai participé à cette épreuve. En tout, ça doit bien faire six ou sept fois que je viens courir à Fribourg. C’est toujours un vrai plaisir de venir ici car je sais que l’organisation est hyper bien rodée et le parcours soigneusement dessiné pour la performance avec des routes en très bon état. 


Comme toujours nous prenons la route de bonne heure pour arriver à trouver une place pas trop loin du départ. Vu le nombre de participants, il vaut mieux venir tôt pour ne pas être obligé de stationner son véhicule à plusieurs kilomètres du départ.


Que nous entrons dans le parc des expositions il y a déjà un monde fou mais  récupérons nos dossards sans trop d’attente grâce à une gestion remarquable des membres du personnel. Par contre, ça coince un peu pour laisser son sac à la consigne: il y a une file d’attente très, très longue qui avance à tâtons. Comme je suis censé partir avec la première vague, je n’ai pas le temps de faire la queue et suis forcé de retourner jusqu’à la voiture pour y laisser mon sac de sport, ce qui engendre un stress inutile à moins d’un quart d’heure du départ. Je dois me dépêcher. Pour ne pas manquer le départ, je dois faire la course avant l’heure. J’entame une série de lignes droites qui font monter le cardio au zénith avant d’entrer dans l’arène.


Finalement, j’arrive tout juste à me frayer un chemin jusqu’à l’avant du peloton que le départ de la première vague (block A) du semi-marathon est donné à 10h30 tapantes comme prévu au programme.


Durant les cinq premiers kilomètres, j’ai réellement l’impression de me balader (à 3’30/km) mais cette impression change du tout au tout par la suite. À mi-course, je peine énormément à avancer et poursuis la course au mental. Heureusement pour moi, le second souffle finit par arriver et je retrouve de l’allure une fois passé le 15e km. Je ne sais pas si cet état de grâce est dû au gel que j’ingurgite ou à un sursaut d’orgueil (ou les deux à la fois) mais je me sens de nouveau très en jambes et la fin de course est vraiment très agréable à vivre. 


Je boucle l’affaire en 1h16mn16 (3’36/km). Pas tout à fait la perf espérée mais une performance qui me vaut de finir 25e du classement général et 1er de ma catégorie. 


Carole, quant à elle, bouclera l’épreuve à une allure de 5’00/km ce qui constitue une belle performance dans l’optique du marathon de Genève que nous préparons sérieusement depuis plus de six semaines pour douze de prévues sur notre plan d’entraînement.


Bilan de la course: en harmonie avec la course anniversaire, la météo était au beau fixe. Un soleil radieux et un ciel sans nuages ​​ont offert des conditions de course optimales. Avec un thermomètre affichant 15 degrés, il ne faisait pas aussi chaud que l’an dernier où les 30 degrés Celsius avaient créé de nombreuses défaillances dans les rangs. Le départ et l'arrivée se faisaient au parc des expositions et en cours de route 35 groupes de musique et plusieurs milliers de spectateurs ont assuré une ambiance de feu. Il y avait tellement de monde sur le bord de la route que, par endroit, on se serait presque cru dans un col mythique en plein Tour de France. Tout ça donne envie de revenir l’an prochain pour revivre pareils émotions !